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histoire des studios d´enregistrement à montréal
PROCÉDÉ DE
GRAVURE DES DISQUES


Textes, recherches, numérisation, photographies, édition et entrevues réalisés par Christian Lewis


Introduction aux procédés de gravure des disques Historique de quelques usines de pressage et graveurs
Diverses étapes de gravure d´un disque Fabrication des autres supports
Équipements utilisés par le graveur Émile Lépine

Dans cette section, les procédés de gravure des disques sont passés en revue. Avant l´avènement de la dématérialisation des supports audio, il fallait fabriquer ceux-ci en s´assurant d´optimiser la qualité sonore. Grâce aux propos et aux archives d´Émile Lépine, graveur et technicien responsable du matriçage (mastering) chez London, chez SNB et chez RSB à Montréal, et de Michel Descombes, graveur, ingénieur du son et mixeur chez RCA et à l´Office national du film, on peut reconstituer les diverses étapes de fabrication d´un disque. Quelques photographies d´archives accompagnent les commentaires sonores.

Merci à tous les participants qui ont ouvert leurs portes et donné accès à leurs archives!



Introduction aux procédés de gravure des disques

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Michel Descombes décrit la technologie du matriçage (mastering ) comme un «gramophone à l'envers». C'est-à-dire qu'on envoie le son dans le disque par un burin qui vibre dans le sillon en fonction de l'amplitude. Travail très précis, il faut être très vigilant lors de variations brusques de fréquences. Il faut un produit parfait, car la matrice sert à la multiplication à grande échelle.


Fabrication d´un disque vinyle
(45´´) – Émile Lépine, enregistré en 2006

Évolution des compétences et des équipements à Montréal à partir des années 1960 (1´51´´) – Émile Lépine, enregistré en 2006


Souci de réussir une sonorité rock et tests pour simuler le type de compression utilisé par la station rock CHOM (1´25´´) - Gilles Valiquette, enregistré en 2006

Soin apporté au concept sonore des albums des années 1970 (39´´) - Gilles Valiquette, enregistré en 2006



Diverses étapes de gravure d´un disque

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La succession des images, provenant des archives personnelles d'Émile Lépine et de celles de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, reproduit la suite logique des étapes de fabrication d´un disque.


Relation entre la qualité de la gravure et l´ajustement du magnétophone lors de l´enregistrement (1´02´´) – Émile Lépine, enregistré en 2006


Évolution des technologies de gravure et amélioration des burins et des amplificateurs (57´´) – Émile Lépine, enregistré en 2006


Procédé de lecture anticipée de la bande afin d´optimiser la gravure des sillons
(37´´) - Michel Descombes, enregistré en 1993


Appareil pouvant optimiser l´espace des sillons selon les variations dynamiques et gravure d´un disque de musique classique
(1´18´´) – Émile Lépine, enregistré en 2006



Premiers burins de gravure à tige latérale.

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Technicien vérifiant les sillons, 1948
Canadian Geographical Journal, vol XXXVII, no 4, octobre 1948

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Dans les premières années de l´enregistrement électrique, deux ou trois graveurs produisent des acétates simultanément pour s´assurer d´un pressage optimal.
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Raoul Jobin au studio RCA Victor, 1948
Canadian Geographical Journal, vol XXXVII, no 4, octobre 1948

Premières tours à graver en 1948, avec une vis à l´horizontale connectée à une courroie de transmission à la verticale qui est reliée au moteur.
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Technicien vérifiant les sillons chez RCA Victor, 1948
Collections de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Fonds Conrad Poirier

Acétate noir en aluminium recouvert de nitro-cellulose sur lequel on grave; jusqu´en 1950 environ, on gravait sur de la cire.
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Technicien manipulant la matrice originale, 1948
Collections de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Fonds Conrad Poirier

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Graveur à l'oeuvre avec le disque en nickel, 1948
Collections de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Fonds Conrad Poirier

Fabrication du disque acétate lors de la gravure (36´´) – Émile Lépine, enregistré en 2006

Étape de l´electro-plating en salle de galvano-plastie : suite à la gravure de l´acétate, on le  recouvre de nitrate d´argent qui infiltre les pores du sillon; on trempe dans un bain pour un traitement électro-chimique avec du zinc pour séparer cette nouvelle couche matrice en sillons inversés bonne pour le pressage; on répéte l´opération pour produire un disque de métal utilisable; celui-ci est retrempé dans les bains pour faire une douzaine de matrices secondaires (stampers) afin de presser plus de disques.
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Étape de l´electro-plating en salle de galvano-plastie à l'usine RCA, 1948

Après l'injection du nitrate d´argent,
étape à la sortie du bain, juste avant de séparer la nouvelle matrice de zinc qui est collé au nitrate d´argent.

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Étape du découpage pour préparer au pressage.
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Étape visant à séparer le disque original du moule, 1948
Collections de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Fonds Conrad Poirier


Séparation de la nouvelle matrice avec les sillons en relief, à droite de l´acétate.
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Séparation du disque original et du moule, 1948
Collections de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Fonds Conrad Poirier


Étape du polissage pour enlever les bavures sur les côtés.
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Techniciens polissant des matrices, 1948
Collections de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Fonds Conrad Poirier

Étape du polissage.
v-RCA-P48-34-10526-1948-T.jpg

Polissage de la matrice, 1948
Collections de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Fonds Conrad Poirier

Étape du pressage des disques avec le biscuit de vinyle qu´on insère entre les deux presses d´une force de 40 tonnes.
Alternance du pressage par l´opérateur entre deux presses (cadence de 10 secondes entre chaque pressage, le temps de mettre le biscuit et l´étiquette, puis de retirer le disque pressé sur l´autre presse).

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Pressage des disques avec le biscuit de vinyle, 1948
Collections de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Fonds Conrad Poirier

Découpage et polissage extérieur du disque fini.
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Sablage du bord des disques, 1948
Collections de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Fonds Conrad Poirier

Contrôle de qualité de quelques disques échantillonnés (on écoute que les premières secondes des disques terminés, toutefois, le disque de métal est écouté minutieusement).

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Vérification des disques, 1948
Canadian Geographical Journal, vol XXXVII, no 4, octobre 1948
et
Disques vérifiés et mis dans les enveloppes, 1948

Collections de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Fonds Conrad Poirier





Équipements utilisés par le graveur Émile Lépine

Équipement en 1966 :  burin de gravure et amplificateurs 60 watts mono et stéréo.
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Technicien dans la salle de matriçage chez London, 1966

Amplificateur VG-74 et magnétophones Studer (à gauche) de qualité professionnelle;
tour à graver avec la vis à l´intérieur reliée au chariot et au burin.

v-Lepine-ampliVG74Neumann-Lonon1982-9.jpg
Amplificateur Neumann VG74
chez London en 1982



Avant l´époque des consoles A et B, il y a peu de possibilités d´égalisation
Celles-ci
permettent de pré-égaliser les signaux alternativement.
Derrière le gros appareil Ampex, il y a quatre amplificateurs et deux têtes de lecture dont l´une qui lisait un peu d´avance afin d´ajuster les sillons automatiquement selon le volume. Certaines consoles A-B ont un dispositif avec un potentiomètre pour faire des fondus à la fin de la bande.
.
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Console Neve AB chez London en 1982

Vue d´ensemble des derniers équipements utilisés chez London avant la fermeture, avec la vieille tour, le nouveau burin, la console A-B, le nouvel amplificateur et les magnétophones Studer.
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Salle de matriçage chez London en 1982

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Système Dolby.

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Sytème Dolby utilisé auparavant au studio 270





Historique de quelques graveurs et des principales usines de pressage

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Très tôt à Montréal, on dispose de lieux de fabrication des disques et de salles de matriçage (mastering). RCA Victor tient le haut du pavé jusqu´aux années 1950. En 1948 environ, le studio Layton Brothers, au 1170 de la rue Sainte-Catherine Ouest, offre aux musiciens l´alternative moins coûteuse de graver directement sur le disque. Le résultat n´est certes pas aussi professionnel. L´ingénieur de ce studio, John Bradley, devient responsable du matriçage (mastering) chez Compo à Lachine, puis chez London à Montréal. Bradley avait travaillé auparavant pour les fils de Berliner dans les années 1930.


À propos de l´ingénieur du son et du graveur John Bradley
(30´´) – David P. Leonard, enregistré en 2006

Dans les années 1950, la demande commence à se diversifier avec le boom économique de l’après-guerre. Entre 1950 et 1960, 18 nouvelles étiquettes se disputent le marché québécois. RCA continue d´être la pierre angulaire de l´industrie du disque, offrant des services de gravure, de matriçage (mastering) et de pressage, contrairement aux autres studios concurrents.

Lionel Parent fut un des graveurs renommés chez RCA. Selon Jean-Paul Séguin, ouvrier et syndicaliste à l'usine RCA Victor à Montréal, le département des disques fonctionne jour et nuit dans les années 1950. Il y a de 25 à 30 presses. 1000 à 1200 disques par jour sont produits pour chaque presse assignée à une personne. On travaille à la pièce et non à l'heure, ce qui rend l´emploi très exigeant et dur, car il fait très chaud l'été (on donne des pilules de sel pour la perte en transpiration). On procède par lot, qui varie de 50 à plusieurs milliers de disques. Il peut y avoir de sept à huit changements de matrice par jour.

Service de gravure des disques offert par RCA aux studios montréalais
(1´16´´) – David P. Leonard, enregistré en 2006


Des petits détaillants tels que Bouthillier sur la rue Saint-Hubert près de Beaubien, offrent à petite échelle des services de transcriptions de disques discontinués, sous l´étiquette Rythmes. Celles-ci se font sur des appareils Presto, puis, à la fin des années 1950, à l´aide d´un magnétophone. Parfois un artiste débutant fait graver 100 copies chez Bouthillier. L´acétate est envoyé chez Compo pour le pressage.

En 1951, Herbert Berliner vend Compo à Decca. C´est la fin d´une époque. L'usine Compo s'établit à Cornwall. Il est à noter que Bibliothèque et Archives nationales du Canada possède un fonds documentant les activités de l'usine Compo en périphérie de Montréal.

En 1955, la maison London (nom américain de la maison britannique Decca) s´établit à Montréal sur la rue Sainte-Catherine, d´abord à titre de distributeur de produits étrangers et locaux.  London traite notamment avec les compagnies Philips-France, DSP, Jupiter et Select. En 1959, devant la vitalité de l´industrie de l´enregistrement sonore à Montréal, London installe une usine de pressage et de matriçage (mastering) qui fait concurrence à RCA. Paul-Émile Mongeau, anciennement du studio Stereo Sound, est en charge de la gravure et du matriçage (mastering). Émile Lépine lui succédera de 1965 à 1982. Il enseignera ce métier plus tard chez Trebas. Les systèmes de gravure (tours à disques, amplificateurs, burins, consoles) utilisés à Montréal sont construits à l´étranger par les compagnies Neumann, Decca, Neve, RCA, Scully et Westrex. Émile Lépine termine sa carrière chez SNB et chez RSB à Montréal.

Michel Descombes travaille pour la compagnie RCA de Montréal de 1964 à 1967. Il commence à faire du matriçage (mastering) au studio RCA situé sur la rue Guy de Montréal. Il deviendra un des mixeurs de films parmi les plus respectés à l´ONF, avec Jean-Pierre Joutel.

Entre 1960 et 1970, les studios indépendants profitent de la concurrence entre RCA et London pour la gravure et le matriçage (mastering) des disques. En 1965, on gravait en mono pour les 45 tours, et parfois en stéréo pour les 33 tours. On ne dispose ni de technique multipiste, ni de système de réduction de bruit. On se sert d'égalisateurs, de compresseurs et de chambres d'écho pour accentuer ou créer de l'effet sonore. Les transformations technologiques majeures proviennent de Toronto et surtout de New York.


Durant ces années, Montréal était le parent pauvre qui héritait de la technologie déjà utilisée auparavant. Au Québec, la tendance dans la réalisation de disques est d´imiter les productions américaines. Par manque de connaissances et d´outils, on laisse passer des sibilances et des petites distorsions dans les hautes fréquences ainsi que des effets de basses fréquences qui sont difficiles à graver. Pendant la décennie suivante, la situation se redresse rapidement. La qualité des techniciens et des équipements n´a alors souvent rien à envier aux productions étrangères.

Gravure alternée en stéréo et en mono et définition du burin (1´36´´) – Émile Lépine, enregistré en 2006

Description du sillon mono et du sillon stéréo (47´´) – Émile Lépine, enregistré en 2006

Qualité supérieure du vinyle européen utilisé lors du pressage des disques (23´´) – Émile Lépine, enregistré en 2006


Dans les années 1980, SNB devient peu à peu une des compagnies de matriçage (mastering) les plus importantes, parmi les trois meilleures en Amérique du Nord. Les derniers appareils de gravure de disques en vinyle sont nettement plus automatisés qu´avant. L´avènement du disque audionumérique transforme le métier de graveur. La gravure disparaît peu à peu. Le mastering devient de plus en plus sophistiqué. D´abord conçu pour réduire le bruit de fond, le mastering ajoute maintenant un vernis au mixage final, grâce à des ajustements globaux pour assurer la cohérence de niveaux, de l´égalisation et des autres paramètres à l´ensemble du disque. Renée Marcaurelle a acquis une solide réputation dans le domaine. SNB possède un espace acoustique consacré au mastering et un équipement de transfert numérique à la fine pointe de la technologie actuelle. L´usine de pressage des disques audionumériques n´altère plus le son obtenu après le mastering, contrairement à la période analogique.

Qualité remarquable de la salle de matriçage (mastering) SNB à Montréal
(28´´) – Ian Terry, enregistré en 2006

On voit émerger de nouveaux services pour contrer l´arrivée des studios domestiques. Par exemple, le studio Karisma ouvre aux musiciens une salle de matriçage avec des équipements de pointe, permettant de compléter et d´améliorer une session amorcée ailleurs.

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Salle de matriçage chez Karisma, 2006

Entre 1990 et 2000, avec l´avènement de la technologie numérique, plusieurs studios de réalisateurs voient le jour, sans espace consacré à l´enregistrement sonore. Suite à la démocratisation des équipements, les musiciens aussi acquièrent des studios domestiques. Les studios s´adaptent en offrant des espaces avec une bonne acoustique, des services de postproduction et des techniciens qualifiés. Les studios semblent de plus en plus lorgner vers les services de matriçage (mastering), proposant aux musiciens des équipements de pointe afin de compléter et d´améliorer une session amorcée à la maison. Les studios Karisma et Victor se sont notamment lancés dans cette aventure.


Fabrication des autres supports

L´apparition de la cassette et du CD (disque audionumérique) a occasionné des chambardements dans les méthodes de fabrication des supports. Voici quelques commentaires des invités :

Explication du système Dolby de réduction de bruit (45´´) – Émile Lépine, enregistré en 2006

Usine Polygram à Montréal pour la production de bandes maîtresses de cassette (45´´) Bernard Tremblay, enregistré en 1993

Fabrication des bandes maîtresses de cassette et duplication à haute vitesse (1´17´´) Bernard Tremblay, enregistré en 1993

Lente progression de la qualité sonore des équipements numériques et baisse de la qualité avec les formats compressés MP3 (1´38´´) – Ian Terry, enregistré en 2006

Évolution du matriçage (mastering) de la gravure à la post-production (1´19´´) – Émile Lépine, enregistré en 2006


* Photographies des collections de la Phonothèque québécoise, de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, des archives des studios et des archives personnelles des invités


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Usine de pressage London, 1966



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Technicien dans la salle de matriçage chez London, 1966














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Magnétophone, années1960

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Magnétophone Studer A80 utilisé chez London en 1982

Difficulté de graver les disques contenant des sibilances
(1´23´´) – Émile Lépine, enregistré en 2006

Problèmes de sibilance tenaces
(36´´) – Émile Lépine, enregistré en 2006


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Tour à graver chez London, 1966

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Modèle VMS59 utilisé chez London en 1982



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Traitement électro-chimique de l'acétate





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Disque inséré dans une presse, 1948
Collections de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Fonds Conrad Poirier





















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Disques sur une courroie allant de la presse au département de finition, 1948
Canadian Geographical Journal, vol XXXVII, no 4, octobre 1948









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Émile Lépine chez SNB en 1982 :
Vérification au microscope des sillons avec à l´avant-plan les commandes de gravure des sillons dont les concentriques, en boucle à la fin du disque.






















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Modèle Scully280 8pistes utilisé chez London en 1982










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Usine RCA Victor


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Console RCA en 1954
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Usine Compo à Cornwall en 1970
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Émile Lépine à la salle de matriçage chez London en 1982

Moyens rudimentaires pour réduire le bruit de fond en 1965 (35´´) - Michel Descombes, enregistré en 1993



Relations entre les graveurs des concurrents RCA et London
(41´´) – Émile Lépine, enregistré en 2006

Relations entre les graveurs des concurrents RCA et London (2)
(31´´) – Émile Lépine, enregistré en 2006














v-Lepine-gr-SNB-1982.jpg
Salle de matriçage chez SNB en 1982 :
Dernier appareil électronique et automatisé de gravure de disque chez SNB, permettant une grande précision.













* Photographies des collections de la Phonothèque québécoise, de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, des archives des studios et des archives personnelles des invités

















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Histoire des studios d´enregistrement à Montréal :




INTRODUCTION




ANECDOTES DES
INGÉNIEURS DU SON

CHRONOLOGIE DÉTAILLÉE
(LIENS ENTRE L'HISTOIRE DES STUDIOS MONTRÉALAIS ET L'HISTOIRE DE L'INDUSTRIE DU DISQUE AU QUÉBEC ET AILLEURS)


SÉANCES D'ENREGISTREMENT
(DESCRIPTIONS ET COMMENTAIRES)


TECHNIQUES D'ENREGISTREMENT,
TRUCS DU MÉTIER ET ÉQUIPEMENTS


HISTORIQUE DE QUELQUES STUDIOS MONTRÉALAIS REPRÉSENTATIFS

PROCÉDÉ DE
GRAVURE DES DISQUES


REMERCIEMENTS


BIBLIOGRAPHIE ET LIENS
(ANCIENNES ENTREVUES)

INDEX DES
EXTRAITS SONORES
(THÈMES ET INVITÉS)


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Lien  vers l'exposition virtuelle :
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Mise à jour le 7 septembre  2006

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